Végétarien, végétalien, cétogène, hypocalorique, sans sel, hyperproteiné, etc… il existe autant de sorte de régimes que de besoins particuliers de chacun. Moins de viande ou plus de viande du tout, moins de gras ou plus de gras, plus de glucides ou moins, les articles sur la nutrition nous perdent plus qu’ils nous éclairent.
Mais c’est le régime méditerranéen qui est le plus acclamé par les études scientifiques. Il est le modèle d’alimentation de référence pour maintenir une bonne santé.
Le régime méditerranéen se base à l’origine sur les traditions alimentaires grecques et italiennes des années 1960 et affiche de faibles taux de maladies du cœur et une espérance de vie élevée pour ceux qui l’adoptent. Des études ont établi un lien entre ce régime et un risque réduit de développer une maladie du cœur, le diabète, la démence et certains types de cancer.
Le régime méditerranéen se base à l’origine sur les traditions alimentaires grecques et italiennes des années 1960 et affiche de faibles taux de maladies du cœur et une espérance de vie élevée pour ceux qui l’adoptent. Des études ont établi un lien entre ce régime et un risque réduit de développer une maladie du cœur, le diabète, la démence et certains types de cancer.
Il y a 15 ans, l’organisme à but non-lucratif Oldways a créé la pyramide du régime méditerranéen afin de promouvoir des habitudes alimentaires saines.
Plutôt que d’éviter les gras en général, ils voulaient offrir une alternative plus saine en démontrant et promouvant l’importance d’inclure des «bons» gras dans notre alimentation comme l’huile d’olive. Le régime méditerranéen favorise ainsi la consommation de végétaux, de graisses de qualité et de céréales complètes. Au contraire, la viande rouge, le sucre et les produits industriels y ont une place très limitée. Une alimentation basée principalement sur des fruits, des légumes, des légumineuses, des herbes aromatiques, de l’ail et de l’oignon.
Selon le journal belge Le Soir, une récente étude qui a analysé un groupe de 612 personnes âgées de 65 à 79 ans, provenant de France, d’Italie, des Pays-Bas, de Pologne ou du Royaume-Uni et qui avaient une alimentation basée sur ce régime, montre un meilleur état de santé général, une diminution du risque de maladies cardiovasculaires, de diabète ou encore de dépression et une amélioration des capacités cognitives.
Le régime méditerranéen a une action bénéfique sur le microbiote intestinal et aide ainsi à freiner la progression de la fragilité physique et du déclin cognitif au cours du vieillissement. Un régime qui a donc tout bon à en croire les chercheurs grâce à ses nombreux apports en fibres, en vitamines C, B6 ou B9, et enfin en minéraux.
Il est toutefois recommandé de consulter son médecin avant de changer son régime alimentaire.